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Nombre Parcourir:1 auteur:Éditeur du site publier Temps: 2020-08-19 origine:Propulsé
Les sociétés minières et les acheteurs de cuivre et de cobalt ont été invités à une réunion à Kinshasa la semaine prochaine pour discuter de la possibilité de conserver une exemption à une interdiction d'exportation qui expire en septembre, a déclaré mercredi le ministre des Mines de la RDC.
La République démocratique du Congo est le plus grand producteur de cuivre en Afrique et le Congo a interdit l'exportation de concentré de cuivre et de cobalt en 2013 pour encourager les mineurs à commencer la transformation et le raffinage dans le pays.
Mais la RDC, qui ne dispose pas d'une capacité de fusion suffisante, a émis à plusieurs reprises des exemptions.
Une interdiction totale entraînerait une forte baisse des exportations de cuivre de la RDC.
Cela porterait également un coup dur à la Zambie voisine, qui transforme le cuivre et le cobalt de la République démocratique du Congo.
«Il y a des exceptions pour certaines raisons», a déclaré le ministre des Mines Willy Kitobo. À chaque fois, nous analysons les fichiers et toutes les données techniques. Les candidatures sont soumises pour une raison. \"
«Le 20 août, les sociétés minières et les transformateurs intéressés à acheter ces concentrés ont été invités à Kinshasa pour voir ce qui pouvait être fait.»
En janvier de cette année, heure locale, le 15 janvier 2020, le projet de fusion de cuivre Dizwa Mining et Lualaba financé par China Nonferrous Metals Group a organisé conjointement l'assemblage de l'achèvement et de la production dans la ville de Coluvizi, province de Lualaba, en RDC.
La coentreprise gouvernementale est capable de traiter 400 000 tonnes de concentré de cuivre et de produire environ 120 000 tonnes de bulles de cuivre par an.
Mais même à pleine capacité, la fonderie de cuivre de Lualaba ne peut pas traiter toute la production de cuivre de la RDC.La RDC a produit 765000 tonnes de concentré de cuivre au cours du seul premier semestre de cette année, en hausse de 13,4% sur un an, a indiqué la banque centrale.
«Notre idée initiale était qu'ils rempliraient la capacité de la fonderie de cuivre de Lualaba et émettraient une dérogation pour la capacité restante», déclare Indigo Ellis, responsable de la recherche Afrique chez Verisk Maplecroft, une société d'analyse des risques.
\"Mais ce n'est pas une option durable et elle est préjudiciable à l'industrie et à l'environnement d'investissement d'une manière négative.\"
Louis Watum, président de la chambre de commerce des mineurs de la RDC, a déclaré qu'il comprenait la volonté du gouvernement d'augmenter ses opérations de traitement des minerais en RDC car cela générerait des revenus, mais il a déclaré que la plupart des sociétés minières ne pouvaient pas effectuer de fusion en RDC en raison de un manque d'électricité.
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